La Société pour la nature et les parcs (SNAP Québec) applaudit les investissements
de 40,9 millions de dollars sur 5 ans annoncés hier par le ministre des Finances du Québec pour assurer
l’atteinte des objectifs internationaux de conservation. À titre d’hôte du Secrétariat de la Convention des
Nations Unies sur la diversité biologique, Québec envoie ainsi le signal qu’il se donne les moyens pour atteindre
17% d’aires protégées en milieu terrestre et 10% en milieu marin d’ici 2020.
Forum de l’Arctic Circle
Les retards du Québec en conservation sous la lunette d’observateurs nationaux et internationaux.
Nouveau parc national Ulittaniujalik : Un autre bout du monde de protégé
La SNAP Québec se réjouit de la création du nouveau parc Ulittaniujalik au Nunavik, 28ème parc national au Québec.
Le Québec doit en faire plus pour protéger notre patrimoine naturel
À l’occasion de la journée internationale de la biodiversité, la SNAP Québec et Nature Québec rappellent au gouvernement du Québec qu’il a la responsabilité de protéger nos lacs, nos rivières, nos forêts ainsi que la faune et la flore diversifiées qu’on y retrouve et lui demandent de redoubler d’efforts en termes de conservation. Les organisations appellent notamment le gouvernement à se doter d’un plan d’action digne de ce nom pour s’assurer de protéger notre plus grande richesse : notre patrimoine naturel.
Le Québec rate sa cible intérimaire sur les aires protégées
Québec est loin d’atteindre ses objectifs d’aires protégées. En effet, le gouvernement s’était engagé à protéger 12 % de ses milieux terrestres et 10 % de ses milieux marins d’ici la fin de l’année 2015, deux jalons dans les efforts nécessaires à long terme pour protéger la nature. Rendu à la fin de l’année gouvernementale, le Québec ne compte que 9,16 % d’aires protégées, dont 1,3 % en milieu marin et de nombreux écosystèmes sous-représentés.
Biodiversité – Le Québec en voie de rater ses engagements internationaux
La Société pour la nature et les parcs (SNAP Québec) et Nature Québec publient aujourd’hui le premier bilan de l’action du Québec en matière de biodiversité : l’analyse révèle que le Québec est en voie de rater les cibles internationales pour lesquelles il s’était engagé.