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Le MFFP ne doit pas ouvrir la porte à la motoneige dans les parcs nationaux, disent Nature Québec et la SNAP Québec

21 novembre, 2019
Le MFFP ne doit pas ouvrir la porte à la motoneige dans les parcs nationaux, disent Nature Québec et la SNAP Québec

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Communiqué de presse

Québec et Montréal, le 21 novembre 2019 – Nature Québec et la Société pour la nature et les parcs (SNAP Québec) rappellent au ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs (MFFP) qu’il ne doit pas ouvrir la porte à la motoneige dans les parcs nationaux.

Ce faisant, ils demandent au ministère de compléter rapidement le nouveau tronçon entre Saint-Faustin–Lac-Carré et la ville de Mont‑Tremblant afin que la motoneige soit définitivement exclue du Parc national du Mont-Tremblant.

Les deux organismes, membres du Comité consultatif sur les parcs, réagissent à l’annonce du MFFP concernant l’autorisation de la motoneige dans le Parc national du Mont-Tremblant pour la saison hivernale 2019-2020.

« Le MFFP doit protéger l’intégrité écologique des parcs nationaux et respecter leur mission qui est d’assurer la conservation de la biodiversité et la protection permanente des écosystèmes. Cette autorisation du ministère doit absolument être temporaire et ne pas s’étendre à d’autres parcs nationaux. Si cette autorisation exceptionnelle devenait la norme, c’est la crédibilité du MFFP et de tout le gouvernement Legault qui en prendrait un coup », explique Alice-Anne Simard, directrice générale de Nature Québec.

« Il existe plus de 35 000 kilomètres de sentiers de motoneige balisés au Québec et le gouvernement a investi des millions de dollars dans les années passées dans des sentiers de contournement pour éviter des zones sensibles. Il est donc possible de garder des territoires protégés comme les parcs où on peut offrir à la population une expérience harmonieuse et un contact privilégié avec la nature », conclut Alain Branchaud, directeur général de la SNAP Québec.

« Il existe plus de 35 000 kilomètres de sentiers de motoneige balisés au Québec […]. Il est donc possible de garder des territoires protégés comme les parcs où on peut offrir à la population une expérience harmonieuse et un contact privilégié avec la nature. »

Alain Branchaud, directeur général de la SNAP Québec.

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Information

Gabriel Marquis
Chargé des communications, Nature Québec
581-307-8613
Gabriel.marquis@naturequebec.org

Clélia Germain
Coordonnatrice aux communications, SNAP Québec
514-378-3880
clelia@snapquebec.org